murder party teambuilding

Pourquoi la murder party en teambuilding ? 

Et si, pour renforcer la cohésion d’une équipe, il suffisait de la plonger dans une enquête pleine de mystère ? 

Une murder party, c’est bien plus qu’un jeu. C’est un moment hors du temps, où chacun endosse un rôle, enquête, suspecte, rit… et découvre ses collègues autrement. 

Les hiérarchies s’effacent pour laisser place au jeu. On s’écoute, on questionne, on collabore, on se surprend. Sans même s’en rendre compte, l’équipe se soude, non pas autour d’un objectif imposé, mais d’une aventure vécue tous ensemble. 

Sortir du cadre professionnel pour mieux se découvrir

Au travail, chacun a son rôle. Le manager dirige, le commercial convainc, le technicien exécute… Et que se passerait-il si on faisait disparaitre ces étiquettes ?

La murder party crée cet espace rare où l’on cesse d’être collègues pour devenir simplement des partenaires de jeu. Chacun se découvre autrement, à travers un personnage, une mission, une histoire à écrire.

Ce changement de cadre, ludique et dépaysant, libère les échanges. On rit, on improvise, on collabore sans y penser. Les conversations ne parlent plus de projets ou d’objectifs, mais d’indices, de suspects et de stratégies communes. La communication devient plus fluide, plus sincère. Les barrières s’effacent d’elles-mêmes, laissant place à une dynamique d’équipe naturelle et équilibrée.

Et c’est souvent après la partie, autour d’un débrief, qu’on réalise que cette parenthèse ludique a rapproché les gens plus efficacement que bien des réunions d’équipe.

Une activité qui révèle des talents cachés

Lorsqu’une enquête démarre, chacun réagit à sa manière. Certains prennent naturellement les devants, d’autres observent, analysent, recoupent les indices. Certains apaisent les tensions, d’autres cherchent les contradictions.

Sans que personne ne s’en rende compte, les qualités professionnelles de chacun s’expriment librement. Le leadership, l’écoute, la créativité, la logique… tous ces talents se révèlent dans un cadre où la pression disparaît.

Là où un brainstorming peine parfois à mobiliser les esprits, le jeu capte l’attention de tous. Les échanges deviennent spontanés, les idées fusent, les points de vue s’enrichissent mutuellement.

Pour un manager, c’est souvent une belle surprise : découvrir un collaborateur discret capable d’animer un groupe, ou un esprit analytique qui brille dans la résolution d’énigmes.

Dans une murder party, les rôles changent, les dynamiques se réinventent, et chacun trouve sa place autrement. Ce n’est plus la fonction qui parle, mais la personnalité. Et c’est grâce à ça qu’apparaissent les plus belles découvertes. 

Une émotion partagée qui crée un lien durable

On dit souvent qu’on ne se souvient pas de ce qu’on a fait, mais de ce qu’on a ressenti.

Une murder party, c’est exactement ça : un concentré d’émotions vécues ensemble. Il y a le rire d’une situation absurde, la surprise d’un rebondissement, la tension d’une révélation… Et cette énergie collective, ce moment où toute l’équipe retient son souffle avant le dénouement.

Ces émotions partagées créent un souvenir commun, un lien subtil qui dépasse le cadre du jeu. Le lendemain, on en parle encore, on rejoue les scènes, on évoque les moments forts. Ce souvenir devient une référence, un fil invisible qui relie les membres d’une même équipe. 

Là où certaines activités de team building s’oublient vite, la murder party laisse une trace. Parce qu’elle touche à quelque chose de profondément humain : le plaisir de vivre une aventure ensemble.

Et c’est ce souvenir-là qui ressurgira plus tard, lors d’un projet difficile ou d’une réunion tendue : on a déjà triomphé d’un mystère… ensemble.

Une expérience adaptable à votre entreprise 

Chaque entreprise a ses valeurs, ses contraintes, ses envies. C’est pourquoi une murder party peut se façonner à votre image.

Que vous souhaitiez une activité courte pour conclure un séminaire, une soirée immersive pour fédérer vos équipes ou un scénario sur mesure inspiré de votre histoire, tout est possible.

Le format s’adapte : dans vos locaux, dans un lieu de séminaire, ou même dans un cadre original pour renforcer le dépaysement. Le nombre de participants, la durée, le ton du scénario… tout peut être ajusté pour que l’expérience reste fluide, inclusive et accessible à tous.

L’objectif, c’est de faire vivre à vos collaborateurs une aventure commune, à votre image. 

La murder party, l’expérience qui transforme un groupe en équipe

Dans une murder party, il n’y a pas de supérieur ni de subordonné. Il n’y a que des regards complices, des rires partagés, des hypothèses échangées autour d’un même mystère.

Ce qui en ressort, ce n’est pas seulement une enquête résolue, c’est une équipe qui s’est découverte autrement, plus soudée, plus vivante.

Et c’est peut-être ça, au fond, le vrai succès d’un team building : créer un souvenir commun, un moment qui laisse une trace, bien après que le jeu soit terminé.

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Une soirée murder party comme si vous y étiez

Imaginez.

Un soir, chez vous ou chez un ami.
Les verres sont servis, les fauteuils déplacés, les regards curieux.
Vous êtes sept, peut-être huit. Pas tout à fait les mêmes que d’habitude.
Car ce soir… vous n’êtes plus vraiment vous.

Le choix de l’univers

Tout a commencé il y a quelques jours. Vous avez choisi un scénario : peut-être une expédition archéologique dans un tombeau maudit, ou une réunion de famille tendue autour d’un héritage mystérieux.
L’ambiance, le nombre de joueurs, le niveau de difficulté : c’est vous qui avez décidé.

Puis, chacun a reçu sa fiche de personnage.
Un nom. Un passé. Des secrets. Des motivations.
Et une question qui trotte dans toutes les têtes : “Est-ce que je vais devoir mentir ? Et à qui ?”

Car oui, quelqu’un a tué.
Et il est parmi vous.

Le jeu commence

L’animateur donne le ton. Il connaît l’histoire. Il sait tout. Et il vous guide, avec bienveillance et malice.

Les premières minutes sont pleines de sourires un peu gênés. On discute, on s’observe, on cherche un prétexte pour entamer la conversation.
Mais très vite, les premiers soupçons naissent. Quelqu’un vous a regardé de travers.
Un autre semble en savoir un peu trop. Et cette journaliste, là, elle pose des questions bien étranges…

L’enquête s’intensifie

Un joueur s’approche de l’animateur. Il dépense ses premiers points d’action.
— “Je veux inspecter le corps de la victime.”

Il revient avec des informations… qui changent tout.
Une blessure étrange. Un message griffonné. Un parfum suspect.

Un autre choisit de fouiller le sac d’un personnage.
Et là, surprise : une lettre compromettante. Une preuve d’un mensonge.
Le cercle se resserre.

Alliances, trahisons et révélations

Les langues se délient.
Des alliances se forment, parfois sur un simple regard.
Des trahisons éclatent : “Tu m’avais promis que tu garderais ça pour toi !”

Certains jouent double jeu. D’autres préfèrent rester discrets, attendant leur moment pour frapper fort.

Et quand on se sent bloqué, on retourne voir l’animateur. On dépense d’autres points. On tente une nouvelle piste.
Le jeu avance. L’histoire se révèle. Les masques tombent.

Le grand final

Quand le temps est écoulé, tout le monde se rassemble.
C’est l’heure des théories.
Chacun accuse, argumente, défend son point de vue.
On rit, on hésite, on doute jusqu’au bout.

Puis, enfin, vient le moment de vérité.

L’animateur reprend la parole. Il déroule toute l’histoire.
Les véritables liens entre les personnages. Les mensonges.
Et bien sûr, le nom du coupable.
— “Mais c’était toi depuis le début ?!”

C’est l’explosion de réactions. Entre éclats de rire et “je m’en doutais !”, chacun refait le film dans sa tête.

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